Dans la boue, la neige et le froid mordant, la boucherie se poursuit tout l’hiver et le printemps. L’ennemi continue à résister aux attaques alliées pourtant incessantes. Un débarquement hasardeux à Anzio s’achève sur un cuisant échec, et a pour résultat de permettre aux Allemands de gagner du terrain en hauteur et de laisser des milliers d’hommes, des troupes alliées, parmi lesquels Babe Ciarlo de Waterbury, totalement exposés au feu ennemi et incapables de progresser pendant des mois entiers.
En mai, les soldats alliés de Monte Cassino et d’Anzio parviennent enfin à percer et le 4 juin, ils libèrent Rome. Cependant, l’armée allemande en retraite leur file entre les doigts, et se déploie sur la ligne Adolf Hitler, au nord de la capitale. Pendant ce temps, le plus grand défi pour les Alliés - l’invasion longtemps retardée de la France - n’est plus qu’une question de jours.